J'ai observé son visage comme on observe un ciel étoilé, m'emmerveillant à chaque nouveau détail que je découvrais. Mille fois j'ai rêvé de l'embrasser, et mille fois je me suis retenue, de peur de le réveiller. J'ai senti son souffle sur ma peau, si délicieux, comme une respiration divine que l'on m'accordait, à moi, petite mortelle, comme une caresse. Mes doigts ont déposé un baiser sur sa joue. Nos lèvres se sont presque effleurées. S'il savait... Lui, mon désir innaccessible.